dimanche 28 octobre 2012

Comment se sentir avec le cours?


Comment se sentir avec le cours?

J’aime le cours, car il permet de rafraîchir mes connaissances et de revoir certaines notions de mon cours de TICS.

Les avantages :
Le cours n’est pas à toutes les semaines, il permet donc une certaine autonomie, car il n’y a pas de déplacements après les heures de travail et nous pouvons le faire directement de la maison. Les heures ne sont pas chargées et nous pouvons le faire Les échéanciers sont aussi très raisonnables, car il y a beaucoup de temps pour faire les travaux. Ce cours met à jour nos connaissances de différents logiciels. De plus, j’apprends à mieux organiser mon temps.

Les inconvénients:

Lorsqu’on a un contrat à temps plein, les études sont là, mais le contrat prend énormément de temps. Donc, il peut être difficile de se concentrer uniquement sur les études, comme lors du baccalauréat. Le temps est le facteur le plus important, car nous avons des corrections, de la préparation de cours, des affiches, des notions à réviser pour être prêt lorsqu’on enseigne.

Ce n’est pas donc un cours régulier et la liberté de ce cours peut parfois nuire. Je ne voudrais pas de cours plus techniques sans enseignant à chaque semaine, car j’ai besoin d’échanger et d’écouter.

Mais, cela dit, je le vois davantage comme un défi, car j’ai choisi de faire une maîtrise non pas pour nuire à mon travail, mais pour l’enrichir. Cela prend donc une grande organisation, comme mentionné plus haut. C’est mon choix de faire une maîtrise.

Comment gérer tout cela?

À l’école où je travaille, nous sommes deux enseignantes à faire la maîtrise à l’Université de Montréal. Nous suivons donc ce cours en même temps. Nous essayons de nous motiver et nous nous rencontrons pour discuter de nos travaux et restons après l’école pour échanger sur les questions. Nous le faisons aussi pour nous soutenir et pour nous entraider, car nous vivons toutes les deux des premières fois avec nos deux groupes. Ainsi, les travaux sont plus faciles et nous pouvons avancer ensemble.


Cadre conceptuel


Comme vous avez du remarquer, cela fait un petit moment que j’ai écrit sur mon blog. Comme ma collègue, ma classe a pris en grande partie mon temps dans les semaines précédentes.
Le cadre conceptuel

A- Qu’est-ce qu’une carte conceptuelle?
Une carte conceptuelle est un organigramme de connaissances en lien avec le sujet donné. Elle permet de structurer les idées de façon logique en partant du plus général pour aller au plus précis. D’ailleurs, c’est un moyen efficace pour représenter la compréhension d’un sujet et lorsque l’on étudie, on peut faire un balayage rapide des idées que l’on a, car il s’agit aussi d’un résumé de connaissances. Lorsque l’on fait une carte de ce genre, on relate des idées pour permettre de les relier.

B- Quels sont les avantages pédagogiques?
Faire une carte conceptuelle permet à l’apprenant de développer plusieurs capacités.  Premièrement, il peut mettre en relief sur papier d’une façon organisée ses idées. En fait, comme mentionné plus haut, il y a une certaine structure dans les idées, car le cadre part du plus général pour aller au plus précis et il classe nos idées. Deuxièmement, cela aide à activer les connaissances antérieures, car on relate des thèmes en lien avec les sous-thèmes et le but d’une carte est de créer des liens avec d’autres connaissances. Troisièmement, lorsque l’on fait ce genre d’exercice, on place uniquement des éléments essentiels, donc il n’y a aucune redondance et les éléments ne sont pas vagues.  Quatrièmement, il joue le rôle de support visuel et permet d’identifier rapidement des difficultés, car il se peut que des liens ne soient pas correctement au niveau visuel. Les aspects manquants sont aussi repérés aisément. Enfin, ce type de tableau organisationnel est aussi un outil de communication, car il peut engendrer des discussions entre les individus.


*Il est important de noter que ce blog a été fait en collaboration avec une autre collègue du cours.
**Les items énoncés ci-haut proviennent du texte proposé en lecture, soit celui du

lundi 8 octobre 2012

Des moments marquants menant à des études supérieures et les raisons pour lesquelles je poursuis mes études


Plusieurs événements marquants ont mené à mon inscription à la maîtrise. Mon parcours m’a toujours amenée à vouloir me démarquer et me questionner. J’ai commencé très jeune à avoir le feu sacré de l’enseignement et/ou de vouloir aider des plus jeunes que moi.

Au primaire, j’adorais aider les enfants de maternelle. Au moment où je fréquentais le secondaire, je devais faire du bénévolat. J’ai fait de l’aide aux devoirs deux ans dans une école primaire du quartier. J’avais une élève qui avait de grandes difficultés et je trouvais le moyen de lui faire comprendre les choses par le jeu ou par des manières plus concrètes. C’est à ce moment-là que je me suis intéressée à plusieurs branches qui permettent d’aider les enfants (l’ergothérapie, l’orthophonie, la psychologie, la pédiatrie etc.) Puis, mes deux années au collégial ont permis l’étude de la psychologie et de la sociologie. Je me questionnais beaucoup sur des sujets en lien avec les enfants et j’ai fait plusieurs travaux qui portent sur ce sujet. J’ai visité un centre pour jeunes mères en difficultés.

 Mais, mon choix de la maîtrise est apparu au tout début de mon parcours universitaire. En commençant mon baccalauréat, j’ai tout de suite su que je m’intéressais à la profession, mais que j’avais besoin d’un autre défi, celui d’une maîtrise.  C’est en rencontrant une bonne amie à ma marraine, qui travaille dans le milieu éducatif, que j’ai mis le doigt sur ce qui m’intéressait, aller chercher des outils pour mieux intervenir auprès des enfants. J’ai fait mes quatre belles années au premier cycle et mes quatre stages ont confirmé que j’étais dans le bon milieu. Par ailleurs, en discutant avec mes deux dernières enseignantes associées, j’ai tout de suite su que poursuivre des études allait enrichir la façon dont j’exerce ma profession. J’aurais davantage de moyens pour intervenir efficacement à l’endroit d’un ou de plusieurs enfants. Lors de mon dernier stage au baccalauréat, j'avais plusieurs enfants en difficultés d'apprentissage ou de comportements, j'ai réussi à établir des liens et à développer des trucs. Si je pense à une petite qui oubliait ses signatures, le truc du pense-bête a été employée. Un enfant ayant un trouble grave du comportement et difficile à entrer en contact faisait parti de cette classe. Je me souviendrai toujours du moment où nous avons établi un lien. C'était une des dernières journées avant les vacances de Noël, son enseignante régulière et son éducatrice spécialisée était absente, cela faisait plusieurs semaines où il était en retrait. Cette journée-là, c'était le déjeuner de Noël et le spectacle des Fêtes.  Je suis allée marcher dans le couloir avec lui pendant le spectacle et nous avons discuté de sa passion pour le cirque et pour les échecs. Je lui ai dit que si les journées qu'il faisait étaient aussi belle que celle que l'on venait de passer, je jouerais aux échecs avec lui(après cinq journées parfaites). J'ai dû jouer plusieurs fois. Cela m'a aussitôt prouvée que j'avais quelque chose de particulier avec des enfants "dits" difficiles. D'ailleurs, j'ai compris le type d'enseignante que j'étais dans ce stage qui a été fort marquant, par les nombreux apprentissages que j'ai faits. Puis, avoir des moyens pour l'aider serait bénéfiques, mais j'ai cru que le moyen le plus simple était d'aller chercher de nouvelles connaissances.

De plus, après ce beau parcours universitaire, ma carrière a commencé. Cette année, j'enseigne la cinquième année(un niveau que j'adore). J'ai vingt élèves.

Enfin,  je suis une personne très curieuse. J’ai fait un baccalauréat en enseignement primaire et en éducation préscolaire, car j’aime apprendre aux enfants, puisqu’ils ont cette soif d’apprendre. Je transmets cette curiosité aux enfants, mais certains de mes élèves éprouvent des difficultés et je veux développer mes connaissances afin de pouvoir mieux les pister.  Pour cette raison, je fais une maîtrise. Tout comme mes élèves, j'ai le goût de connaître. Alors, ce goût d'apprendre sera aussi nourri.

J’ai aimé faire cet exercice, car se questionner sur son parcours nous mène parfois à de grandes réalisations et nous prouve que l’on développe des passions bien avant que l’on conçoive l’idée d’exercer une profession. 


Ma ligne du temps 
Je pense la faire dans un fichier word et relater tous les éléments marquants. Je vais tout simplement l’imager avec des cases spécifiques pour les aspects énumérés un peu plutôt.

mardi 11 septembre 2012

La production d'un blog

1-Comment vous sentez-vous face à la production hebdomadaire exigée dans le
blog ? 

Je crois que le fait de rédiger des messages de façon hebdomadaire permet l’apprentissage de l’utilisation de ce site Internet. En effet, cela permet l’utilisation d’un nouvel outil, qui auparavant m’était inconnu. J’aime l’idée d’écrire, car j’améliore ma démarche réflexive et je peux me questionner sur différents sujets en lien avec l’éducation, car des questions il y en a toujours.


2-Quelles sont, selon-vous, les potentialités et contraintes d¹efficacité du  blog dans le cours PPA6001 ? Et dans vos activités d¹enseignement ou d¹orthopédagogue, est-ce identique ?


Il m’amène à réfléchir sur différents sujets. Il permet aussi d’échanger nos idées pour développer nos connaissances professionnelles en éducation et en informatique. Pour l’instant, il ne me vient qu’une seule contrainte en tête. C’est le temps, je ne pense pas être capable d’y consacrer autant de temps que je le souhaiterais pour façonner mon blog. Toutefois, je vais faire de mon mieux, en planifiant mon 30 minutes de rédaction à chaque semaine.
Ce pourrait être un bel outil pour exploiter les technologies et le français de façon différente avec nos élèves. C’est sensiblement la même chose pour les potentialités et les contraintes en enseignement et en orthopédagogie.

3-Pouvez-vous imaginer une activité dans votre classe qui intègrerait un usage pédagogique du blog? 

Je pense qu'on pourrait faire l'élaboration d'un journal. Ils pourraient commenter un sujet d'actualité de la semaine et commenter celui d'un pair. Alors, les enfants devraient se renseigner sur différents sujets et écrire sur un sujet qui leur plaît. Ce serait une façon de travailler la compétence « Écrire des textes variés », car ceux-ci auraient à écrire différents textes dans la langue de communication, ainsi ils pratiqueraient les acquis vus en classe et développeraient de nouvelles connaissances.  D’une façon ou d’une autre, ils amélioreraient la compétence « Lire des textes variés », car ils se tiendraient au courant des nouvelles en les lisant et commenteraient les blogues de leurs pairs.
Par ailleurs, il pourrait avec quelques embuches en raison du temps, car il faudrait planifier un moment où les élèves pourraient créer avec tous les apprentissages, ce n’est pas impossible. Il y a toujours un moyen de tout intégrer en classe. Certains élèves peuvent ne pas connaître toutes les icônes web. Donc, mon rôle serait de mettre à jour leurs connaissances, pour qu’ils puissent se servir de ce site Internet.

jeudi 30 août 2012

Objectifs personnels-professionnels ou compétences spécifiques

Je vise par ce programme à la Maîtrise en Éducation à apprendre davantage de moyens pour intervenir auprès des élèves EHDAA, car je ne connais toutes les problématiques, mais j'aimerais arriver devant un enfant qui a un problème quelconque et pouvoir l'aider davantage. Je crois que le but principal de ma maîtrise est de découvrir de nouveaux aspects, que ce soit l'intervention, la définition des troubles, l'application de connaissances etc. L'orthopédagogie me fascine énormément, car ce domaine trouve toujours une façon d'aider une personne en difficulté. J'aimerais apprendre à bâtir du matériel, il est très utile pour tous les types de clientèle d'avoir du matériel propre aux besoins spécifiques, mais, connaître la profession d'orthopédagogue est sans doute un autre aspect auquel j'ai envisagé en m'inscrivant.

Une question inspirée des problèmes et défis actuels à laquelle j'aimerais trouver réponse

Est-ce qu'un élève EHDAA a nécessairement un trouble de comportement et/ou de la difficulté à réussir à l'école?

Ma pratique professionnelle actuelle, le déti le plus significatif

Le défi le plus significatif
Dans ma carrière professionnelle actuelle, je dois continuer à me faire confiance. D'ailleurs, j'aurais la chance d'être sur le terrain en même temps que je ferai ma maîtrise, ce qui je crois est un plus en soi, car je pourrai appliquer les notions de mes cours dans ma pratique enseignante. Avoir confiance signifie de ne pas se montrer démuni lorsqu'on rencontre une difficulté, avoir le droit à l'erreur, être sûre de soi lorsque vient le temps de présenter des notions ou de questionner les autres membres du personnel de l'école.  Je dois être fière du parcours accompli jusqu'à maintenant, car je suis rendue loin dans mes études et j'ai réussi. Je crois qu'avoir été accompagnée pendant plusieurs années a permis une grande évolution de ce côté, mais ma plus grande crainte est le temps d'appropriation des notions du niveau auquel j'enseigne, car je ne sais d'où partent mes élèves, je sais toutefois où je veux les amener. Donc, seul le temps peut arranger les choses.
 


Deux problèmes importants observés dans ma carrière.

1-Premier problème

Je dois apprendre à équilibrer mes sphères de vie, car j'ai tendance à vouloir en faire beaucoup et je m'oublie quelquefois. Normalement, on doit donner l'équivalent de 8 heures au travail, 8 heures pour soi et 8 heures de sommeil. Mais, habituellement, j'en donne davantage au travail. Donc, oui, l'école doit constituer une priorité, mais je dois me donner le droit de faire autre chose. Le principal moyen que j'ai trouvé a été de m'inscrire à des activités sportives et de me retrouver avec les gens que j'aime. 

2- Deuxième problème

Je suis une personne de nature gênée. Je ne dis pas toujours ce que je pense en réunion, mais je le devrais. À ma dernière année de baccalauréat, il m'a été enseignée de toujours croire en soi et que si j'avais des questions de ne pas hésiter. Il ne faut se sentir incertain. Parfois, cela va dans les deux sens. Je crois que l'insécurité vient avec le fait que je sois jeune et que je commence une belle carrière, mais le fait d'être gênée vient avec la peur de ne pas se tromper. Étant un être humain, j'ai le droit de me faire des erreurs et de me reprendre.